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Callixte Rosaleen Dawkins

i have beautiful everything

NOM(S) - Dawkins . PRÉNOM(S) - Callixte Rosaleen. AGE ET LIEU DE NAISSANCE - dix-sept ans, née le 6 Décembre 1996, à Westport . NATIONALITÉ - Américaine.  STATUT CIVIL - Célibataire ORIENTATION SEXUELLE - Hétérosexuelle. ANNÉE SCOLAIRE - deuxième année de lycée.  GROUPE - Swinging Cats.

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La radio pirate est la plus grande angoisse des lycéens de Westport. Quelle information pourrait faire trembler votre personnage si son nom était évoqué ? - Que je suis une sacrée allumeuse qui adore lorsque les mecs posent les yeux sur moi ? Désolée de vous le dire mais tout le monde le sait. Ce n’est pas forcément l’image de moi que je souhaite donner mais j’en ai rien à faire, la vie pour moi, ce n’est pas un cadeau. Je fais donc ma dure à cuire sans pour autant montrer qu’une jeunesse lourde et difficile se cache derrière moi. Ma plus grande peur serait sans doute qu’on le découvre, puisqu’à cause de ça,  ma carapace d’intouchable serait brisée, ainsi que ma popularité. Ma carapace est ma force, d’autant plus qu’une autre hantise s’est ajoutée à cela et pourrait m’enlever la seule activité qui me rend fière … Un abruti de service m’a mise enceinte, et si ça se sait, je peux dire adieu à mon poste de pom-pom girl. Rien que ça. Mais n’essayez pas de trop de toucher à ma fragilité mes choux, sinon, vous pouvez être sûrs que je saurais faire de votre vie un véritable enfer.


histoire et anecdotes - « Tu me donnes combien pour ce genre de came ? » Un paquet rempli dans la main, un regard inquisiteur et puis, la réponse tomba sans équivoque. « Pas plus de 100 dollars, le marché est difficile en ce moment. A prendre ou a laisser. » La femme qui me tenait la main se mit alors à froncer le regard, apparemment, ce prix était encore loin de lui convenir. « J’ai mis des heures entières à produire cette ignominie, et puis comme vous le voyez j’ai une petite à la charge. » Toutes nos sorties ensemble se passèrent ainsi. Comparez ça à une enfance normale, et vous verrez tout de suite pourquoi je ne suis pas ce genre de fille encore tendre et douce que l’on peut trouver à certains coins de rues. Pour faire court, ma vie a toujours été comme ça. Ma mère ne pourrait pas être couronnée de la médaille de la plus fréquentable, et mon père était sans aucun doute l’un de ces clients qui s’en moquait éperdument d’avoir, dans son pur plaisir, mis un enfant au monde. Elle finit alors par avoir son argent, même si elle espérait bien avoir un peu plus de par la pitié, mais il fallait croire que dans ce milieu c’était loin de se passer comme ça.   Bien qu’elle ne se drogue pas, elle a cependant été enrôlée dans un réseau pas très clean pour se faire un peu d’argent. Elle vendait son corps aux hommes comme aux femmes pour se maintenir en vie, autant qu’elle que moi. Et la seule chose à laquelle je lui suis reconnaissante aujourd’hui, c’est qu’elle ne m’ait pas délaissée malgré la difficulté. Elle est courageuse même si elle ne m’a pas vraiment élevée de la meilleure façon qu’il soit. J’ai été élevée à la dure, je ne devais pas interférer dans les discussions avec les autres personnes, je devais monter dans ma chambre vide d’amusements, me taire et attendre que cela passe. Des amis de quartier ? Elle considérait qu’il n’y avait pas assez de place dans ma vie pour m’intéresser à eux. Alors, j’essayais de me dégourdir un peu par le moyen de l’école, et c’était bien la seule chose qui réussit à me sociabiliser un minimum car c’était quand même une chose importante dans la vie. Néanmoins, la vision de l’éducation de ma mère reprenait toujours le dessus, et c’était comme ça. Je devais avancer pour moi-même, pour me sortir de la galère dans lequel elle ne s’en sortirait sans doute jamais. Je devais travailler à fond en cours et lui ramener des notes exemplaires, sinon je risquais bien de passer un sale quart d’heure. C’était sans doute une bonne façon de s’élancer correctement dans la vie, mais lorsque j’échouais à un examen, il fallait voir le degré dans lequel ma mère se mettait en colère. Un soir, je lui avais montré non sans frayeur un E obtenu dans un examen de géométrie, et je peux vous dire que je me suis rappelée de la sanction. Elle m’avait enfermée dans le placard de l’entrée toute la nuit, me hurlant que je n’étais qu’une petite idiote qui finira à la rue comme elle l’était. Voilà comment s’est forgé mon caractère. J’ai très vite compris que la vie était loin d’être un cadeau, alors je restais d’une méfiance sans équivoque lorsqu’il s’agissait des autres. Personne ne devrait m’atteindre parce que j’étais d’un caractère de glace, et celui qui réussissait à me toucher provoquerait ma ruine. Le lycée fut alors la période dangereuse pour ma mère. Afin de garder toute neutralité vis-à-vis de notre situation et pour que cela se passe le mieux possible, nous avons dû mentir pour que l’administration ne se doute de rien, même si leur secret professionnel est de rigueur. Ainsi, ma mère avait un boulot stable alors qu’elle s’était procurée de l’aide financière par diverses associations et un peu d’argent sale pour beurrer le tout, afin que j’aie le droit à la meilleure scolarité possible. Mes années se firent alors pareillement dans cette même atmosphère, bien que je réussisse à me dégourdir un peu plus. Même si ma mère me l’interdisait, je participais à des fêtes, j’utilisai son argent pour avoir de nouvelles fringues et du maquillage, suite à quoi notre relation se détériorait assez rapidement. Elle avait aussi envie de vivre prétextant la raison qu’elle avait gagné cet argent toute seule, sauf que moi, je voulais le plus rapidement possible me délier de ses chaînes et enfin faire ma vie. Sauf qu’elle me tenait encore par les rênes car j’étais encore mineure, et si je continuais de me rebeller financièrement, j’allais arrêter le lycée et faire le trottoir avec elle pour continuer à survivre … Au fond, elle ne serait jamais capable de faire ça, mais par sécurité, je restai sous son emprise, de peur de terminer comme elle, utilisant juste l’argent un peu plus décemment pour tenir jusqu’à la prochaine rentrée d’argent. Ce n’est pas la meilleure vie que l’on puisse rêver en effet, mais pour l’instant je me complais à tout cela, jusqu’au jour où j’oserais crier à l’aide … Mais d’un autre côté, ce serait montrer ma faiblesse, chose que je ne devais jamais faire. En ce qui concerne le sport, j’ai intégré le club des pom-pom girls lors de la moitié de la première année de lycée, sport qui me redonnait quelque peu un espoir pour ma vie future. Même si je n’étais pas trop à l’aise socialement, j’étais douée et j’apportais de la fluidité à l’équipe qui se satisfaisait de ça en vue de mon travail. Deçà, j’eus très rapidement ma petite popularité que je n’utilisais simplement que pour me maintenir socialement, car même si j’ai cette carapace de fer autour de moi, je déteste être seule, car quand personne ne m’entoure j’ai l’impression que ma mère n’est pas loin … Que la misère n’est pas loin, même si je la rejoins tous les soirs. Le lycée et les sorties sont donc le seul bol d’air que je m’autorise à prendre, même si des fois, ce n’est pas facile tous les jours, d’autant plus que les gens mine de rien commencent à s’attacher à ma personnalité sans pour autant que je ne les laisse entrer complètement dans ma vie, il est clair que j’ai besoin d’aide pour m’en sortir, mais je préférerais crever que de l’avouer et ressentir la pitié de tout le monde …

sweet-madness •• 1 067 mots.

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AGE - 18 ans. FRÉQUENCE DE CONNEXION - 5/7 UN DERNIER MOT ? - STERICA. always and forever. ♥

C'est parfait comme toujours chouchou Amuse-toi bien et désolée du retard

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Comme tu le vois, tu es validé(e) ! Tu peux enfin t'amuser sur Wallflower c'est pas génial ? Bon, après le plus dur viennent les réjouissances mais avant ça, tu peux recenser ton avatar et poster ta fiche de lien. Tu as aussi le droit de poster un scénario féminin ou masculin ici ! Mais aussi fais un tour sur les clubs pour intégrer un peu plus ton personnage dans la vie du lycée ! Amuse-toi bien sur le forum et n'oublie pas de nous faire de la pub en postant ici et ici