Izzy Carlton
~ MESSAGES : 32 ~ INSCRIPTION : 11/07/2013 ~ SCOLARITÉ : Senior. ~ AVATAR : Dylan O'Brien ♥ ~ PSEUDO : absolem. ~ CRÉDIT : /
YOU'RE A WALLFLOWER ~ HEARTBEATS :
| Sujet: (F) EVAN RACHEL WOOD - sweet melancholy, darling. Mar 16 Juil - 16:31 | |
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nom & isobel
Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée en 26 ans. AGE - vingt-six ans. STATUT CIVIL - célibataire. ORIENTATION SEXUELLE - hétérosexuelle. MÉTIER - professeur de français AVATAR - evan rachel wood, la plus belle des rousses.
⊱ no rest for the wicked, caractère - affirmée, indépendante, sérieuse, joueuse, taquine, rusée, possède une bonne répartie, consciencieuse, battante, courageuse, têtue, moqueuse, manipulatrice, intelligente, méfiante, excessive, aime se faire respecter pendant ses heures de cours, aime avoir une apparence soignée. histoire - Isobel est née à Paris, dans une famille moyennement aisée, ce qui fait qu'elle a été bien éduquée » elle a toujours été passionnée par l'école et sait depuis longtemps qu'elle sera professeur plus tard » a failli périr dans l'incendie de son collège, mais a été sauvée par un jeune homme qui devint son mari quelques années après » ce même homme est mort depuis deux ans d'une syncope dans leur appartement : beaucoup plus éteinte qu'elle ne l'était avant » est arrivée à Westport il y a quelques mois et est professeur de français au lycée de la ville. ⊱ you and i, color my life with the trouble of chaos - éteinte, elle n'était qu'une braise qui s'effrite sous l'effet du vent, à la limite de s'éteindre pour de bon. à quoi bon vivre quand la personne qu'on aime ne s'éveille plus à nos côtés, qu'elle ne nous sourit plus avant d'aller dormir, qu'elle ne tarit plus nos larmes ? elle était certaine, elle pouvait affirmer que rien n'aurait su lui redonner la fougue de son adolescence, la joie de vivre qui se peignait sur son visage quand elle allait étudier, pensant déjà qu'elle serait à la place de ses professeurs, enseignant à d'autres après elle. mais ce fut différent, ce jour-là, avec ce jeune homme à la langue bien pendue. ce regard noisette moqueur et malicieux, cette attitude nonchalante. il l'avait surprise, défiant sans aucun regret l'autorité professorale, provoquant sans se soucier des répercussions. et la suite, caresses et baisers soucieux de plaire à ses envies intimes, adoration vouée à son corps de femme, qui avait redonné un regain à son coeur, une montée d'adrénaline qui n'avait plus eu lieu d'être depuis bien longtemps. et même si cela fait une année que tout est relegué au fond de son esprit, elle se prend à manquer, à vouloir faire revenir cette étincelle. - extrait de ma fiche:
« Je pense que tu sais très bien pourquoi tu te trouve ici, n'est-ce pas ? Si tu voulais dormir, il fallait rester dans ton lit. » Un sourire narquois ornait les belles lèvres rouges de la jeune femme, assise jambes croisées sur la chaise de son bureau. Ses boucles d'un roux flamboyant tombaient sur ses épaules blanches, d'un contraste tranchant. En face d'elle, il y avait moi, seul avec une feuille remplie de question en français. Pas facile de comprendre une langue que l'on ne connaît pas lorsque l'on dort sur sa table pendant les cours, je l'avoue. Mais j'avais toujours eu de la ressource et un problème plutôt étrange avec l'autorité. « Avec une telle compagnie que la vôtre dans mon lit, mon réveil aurait été beaucoup plus agréable. » Provocateur, moi ? Si peu. Un sourire fleurissant sur mes lèvres, j'attendais avec impatience la prochaine réplique, me léchant presque les babines. Mais je me heurtai à un regard noir et à des lèvres closes. Très bien. Heureusement que j'avais écouté ma mère quand elle téléphonait à notre tante française, captant quelques mots et retenant bien ceux-ci dans ma mémoire. Tout n'avait pas été relégué au fond de mon esprit et merci bien, je ne dormais pas à tous les cours. Sinon, j'aurais passé ma vie en heure de colle. Bon, si c'est surveillé par la charmante professeur que nous avons pour ce cours, je me porte presque volontaire. Puis les deux heures étaient passées, entre grattage intensif de papier, sommeil de courte durée et ennui mortellement mortel. Puis les secondes défilaient et le moment fut venu. Nous nous étions levés en même temps, mais une chaise rangée peu soigneusement stoppa ma course pour sortir le plus vite possible, en plein élan et bien rapidement. Après un cri de surprise et une chute sur quelque chose de mou, j'ouvris les yeux. Et depuis cet instant, vous pouvez désormais affirmer que ma vie peut ressembler à une série télé à l'eau de rose à la con. La situation présente ? Izzy couché sur professeur. Izzy avoir lèvres posées sur lèvres de professeur. Professeur être plutôt choquée de son côté aussi. Je fais simple, parce que mon cerveau déconne un peu là. Disons qu'après, tout s'est enchaîné, on ne sait pas trop comment. Mais je me souviens de la caresse soyeuse de sa bouche contre ma peau, de la pulpe de ses doigts sur mon visage. De ses soupirs de plaisir mêlés au miens. Oubliant complètement que n'importe qui aurait pu entrer et que les relations élève-professeur étaient strictement prohibées. Lorsque je suis sorti de cette salle, le sourire aux lèvres, je me suis dis que les cours n'allaient plus jamais être pareils.
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