@ tumblr pour le gif
Nathaniel Izzy Carlton
Transmets mes amitiés aux écureuils.
NOM(S) - Carlton, mon père est le cousin du fils de la tante du bref, on a un lien de parenté avec les gens qui possèdent la chaîne d'hôtels prestigieux. Ca fait pas pour autant de nous des gens richissimes. Mais je le vis bien.
PRÉNOM(S) - Nathaniel, parce que dans la famille, il faut quelque chose de "clââââsse". Mais je préfère Izzy, une envie loufoque de ma mère, que je remercie tous les jours.
AGE ET LIEU DE NAISSANCE - Né à Westport, le premier avril 1995. Dix-huit années au compteur et je me demande toujours si ma naissance n'est pas une grosse blague.
NATIONALITÉ - Américain.
STATUT CIVIL - Célibataire.
ORIENTATION SEXUELLE - Bisexuel, avec une tendance à attirer les gays. Disons que c'est pas pour me déplaire mais bon.
ANNÉE SCOLAIRE - 12th Grade
GROUPE - LET'S HAVE A KIKI.
⊱ look how they shine for you,
La radio pirate est la plus grande angoisse des lycéens de Westport. Quelle information pourrait faire trembler votre personnage si son nom était évoqué ? - C'est un petit secret qui le fait encore sourire quand il y repense mais il a eu une courte relation avec une de ses professeurs, l'année passée. Pendant une heure de colle qu'il devait passer avec elle, ils ont fini par faire des choses qui n'avaient plus rien à voir avec le cours, sur le bureau. Mais sachant que les relations élèves-professeurs sont prohibées, ils ont décidé d'en arrêter à cette petite aventure de quelques heures et de garder ça secret. Mais quand ils se croisent dans les couloirs, il reste toujours quelque chose, un petit signe qui prouve à l'autre qu'ils n'ont pas oublié et que cela reste un bon moment entre eux.
⊱ memories fading away,
Like the legend of the phoenix, all ends with beginnings Un univers diamétralement opposé au mien, uniquement composé de bienséance, de paraître et d'hypocrisie. La vérité et l'honnêteté n'avaient rien à faire dans un monde qui surjoue, qui ment, qui essaye simplement de se faire apprécier des autres pour ce qu'il veut bien montrer et non pour ce qu'il est, au plus profond de lui. Les flashs éblouissaient mes yeux noisette, diminuant la portée de ma vue sur les personnalités qui évoluaient, parées de leurs plus beaux atouts. La main de ma cousine était fermement tenue dans la mienne, nos regards se croisant de temps en temps, comme un signe que tout allait bien pour le moment. Je devais être âgé d'une dizaine d'années et la coutume Carlton voulait que la famille au complet soit présente lors des cérémonies officielles. Rencontrer des membres de votre famille qui vous sourient et vous parlent alors que vous n'entendrez plus jamais parler d'eux. Nous fêtions le centième anniversaire de la création de la célébrissime chaîne d'hôtels de prestige et quelques personnes reconnues parmi les acteurs, producteurs, chanteurs et autres énergumènes un tant soit peu riches pour se payer quelques nuits dans une chambre de luxe. Mais passant trop près d'un groupe, je fus bousculé. Perdant subitement la main de Frankie, percutant un verre d'alcool qui termina sa course folle sur la robe immaculée d'une convive. Mes joues auraient pu battre le record de rougeur et l'on aurait pu cuire un œuf dessus tellement elles me semblaient brûler. «
Je...pardon ! Excusez-moi, je...je voulais pas... » J'avais tâtonné et agrippé du tissu, qui s'était révélé être la jupe d'une autre invité. Résultat ? Un début d'incendie, des cris, de l'alcool répandu un peu partout sur le sol et surtout sur les habits des convives, un regard noir de la part de mon père. Je comprends vraiment pourquoi on m'appelle Mr. Bad Luck.
We're halfway there and looking back now «
Je pense que tu sais très bien pourquoi tu te trouve ici, n'est-ce pas ? Si tu voulais dormir, il fallait rester dans ton lit. » Un sourire narquois ornait les belles lèvres rouges de la jeune femme, assise jambes croisées sur la chaise de son bureau. Ses boucles d'un roux flamboyant tombaient sur ses épaules blanches, d'un contraste tranchant. En face d'elle, il y avait moi, seul avec une feuille remplie de question en français. Pas facile de comprendre une langue que l'on ne connaît pas lorsque l'on dort sur sa table pendant les cours, je l'avoue. Mais j'avais toujours eu de la ressource et un problème plutôt étrange avec l'autorité. «
Avec une telle compagnie que la vôtre dans mon lit, mon réveil aurait été beaucoup plus agréable. » Provocateur, moi ? Si peu. Un sourire fleurissant sur mes lèvres, j'attendais avec impatience la prochaine réplique, me léchant presque les babines. Mais je me heurtai à un regard noir et à des lèvres closes. Très bien. Heureusement que j'avais écouté ma mère quand elle téléphonait à notre tante française, captant quelques mots et retenant bien ceux-ci dans ma mémoire. Tout n'avait pas été relégué au fond de mon esprit et merci bien, je ne dormais pas à tous les cours. Sinon, j'aurais passé ma vie en heure de colle. Bon, si c'est surveillé par la charmante professeur que nous avons pour ce cours, je me porte presque volontaire. Puis les deux heures étaient passées, entre grattage intensif de papier, sommeil de courte durée et ennui mortellement mortel. Puis les secondes défilaient et le moment fut venu. Nous nous étions levés en même temps, mais une chaise rangée peu soigneusement stoppa ma course pour sortir le plus vite possible, en plein élan et bien rapidement. Après un cri de surprise et une chute sur quelque chose de mou, j'ouvris les yeux. Et depuis cet instant, vous pouvez désormais affirmer que ma vie peut ressembler à une série télé à l'eau de rose à la con. La situation présente ? Izzy couché sur professeur. Izzy avoir lèvres posées sur lèvres de professeur. Professeur être plutôt choquée de son côté aussi. Je fais simple, parce que mon cerveau déconne un peu là. Disons qu'après, tout s'est enchaîné, on ne sait pas trop comment. Mais je me souviens de la caresse soyeuse de sa bouche contre ma peau, de la pulpe de ses doigts sur mon visage. De ses soupirs de plaisir mêlés au miens. Oubliant complètement que n'importe qui aurait pu entrer et que les relations élève-professeur étaient strictement prohibées. Lorsque je suis sorti de cette salle, le sourire aux lèvres, je me suis dis que les cours n'allaient plus jamais être pareils.
absolem./léah
AGE - DIX-HUIT ANS, ALLELUIA
FRÉQUENCE DE CONNEXION - 5/7
UN DERNIER MOT ? - Je pense qu'un Maître va être content de retrouver son esclave.